Test ADN

Test ADN : le meilleur chemin qui vous mène à vos origines

“Mes origines me sont floues, je ne connais pas mes ancêtres !” Vous vous reconnaissez dans ces mots ? Sachez qu’avec l’avancée de la Science, il est désormais possible d’établir un patrimoine génétique grâce aux analyses ADN.

Ces tests génétiques sont de plus en plus prisés de nos jours, du fait qu’il permet d’accéder à différentes informations précieuses dans le domaine de la généalogie génétique. Faire un test ADN est en effet un choix populaire pour ceux qui souhaitent savoir davantage sur leur histoire de famille, ceux qui s’intéressent à leurs origines : pays et composition ancestrale.

L’ADN : l’élément qui caractérise un être vivant

Pour information, les tests de recherche ADN sont essentiellement basés sur les 23 paires de chromosomes standards que l’être vivant dispose depuis sa naissance. La constitution génétique est unique, sauf dans le cas des vrais jumeaux. Elle ne change pas tout au long de la vie.

Le chromosome X est issu de la mère alors que le chromosome X ou Y qui va le compléter, vient du géniteur. Dans le cas où le père apporte un chromosome X, la progéniture sera de sexe féminin. Si c’est un Y, l’enfant à naître, sera de sexe masculin. Chaque individu a un ADN dans ses cellules. Il s’agit d’une molécule génétique spécifique. Ceci est hérité du côté de la mère, de manière exclusive. À des fins généalogiques, le test ADN généalogique mitochondrial ou du chromosome Y caractérise les fondamentaux des analyses ADN.

Test généalogique : pour déterminer les informations sur l’ascendance personnelle

Les échantillons d’ADN généalogiques sont utilisés pour déterminer des informations sur la généalogie ou l’ascendance personnelle. La recherche ADN généalogique compare aussi les résultats de différentes personnes de la même lignée à différents groupes ethniques pour pouvoir prouver que les individus ont les mêmes gènes. Faire un test génétique ne rentre pas dans l’usage médical. Ce genre de test de parenté permet plutôt de dresser des arbres généalogiques.

Comme pour le test de paternité, faire un test ADN origine consiste à prélever un échantillon d’ADN via la salive, à l’intérieur de la joue. Il s’agit d’un prélèvement sans douleur. Cela peut vous rassurer si jamais vous avez horreur des aiguilles.

L’objectif de faire un test de ce genre est de déterminer les polymorphismes d’un individu, notamment les emplacements variables et spécifiques de son génome. Cela permet alors d’identifier, soit son mélange ethnique, soit ses relations généalogiques ancestrales. Il est tout à fait possible d’obtenir ces informations grâce aux données fournies par l’ADN. Il existe différents types de tests biologiques généalogiques :

  • test mitochondrial : il se focalise essentiellement sur les mitochondries, les éléments hérités de mère à enfant. Cette analyse a le pouvoir de retracer les lignées maternelles ;
  • test du chromosome père-fils : cet examen du chromosome Y ne peut être effectué que par les hommes. Il permet en effet d’analyser la ligne paternelle directe ;
  • test autosomal : plus fréquent des tests ADN, il permet de créer un patrimoine généalogique en analysant l’ensemble des chromosomes pour en connaître davantage sur l’histoire de la famille et ses origines.

Que peuvent faire les tests généalogiques ?

Grâce à un test ADN origine, il vous est possible de découvrir les origines de votre lignée paternelle grâce à l’examen des marqueurs génétiques. Il s’agit des gènes codants pour des caractéristiques spécifiques.

Certains examens généalogiques peuvent aussi montrer quelles étaient les voies de migration des ancêtres paternels d’une famille jusqu’à ces dernières années. Cela peut également être fait avec des marqueurs mitochondriaux pour déterminer les ancêtres maternels.

Vous pouvez découvrir à laquelle de plus de 200 populations vous ressemblez le plus sur le plan génétique et quelles proportions de vos ancêtres proviennent les unes des autres des sept groupes de niveau continental. Ceci est particulièrement utile pour ceux qui souhaitent savoir quel pourcentage de leur patrimoine est africain, asiatique, américain ou européen, par exemple.